Le Salon du Livre et de la Presse Jeunesse ouvre ses portes dans 26 jours maintenant. Comme l’année dernière vous pourrez nous retrouver sur le Pôle Numérique. Comme l’année dernière nous avons concouru pour les Pépites de la Création Numérique !
Pour cette 28e édition, Les Pépites (initiées en 2011) sont au nombre de 8.

Pépite de l’Album (7 titres encore en lice), Pépite BD/Manga (idem 7 titres en lice), Pépite du roman adolescent (5 titres en lice), Pépite du documentaire (5 titres en lice), Pépite du livre d’Art (5), Pépite du livre OVNI (6), Pépite de l’adaptation cinématographique (5) et enfin Pépite de la création numérique qui nous concerne tout particulièrement et dont les nominés sont :
Balloon Paper App, éditions Volumiques
Fourmi, Oliver Douzou, d’après l’album paru aux éditions du Rouergue, Opixido
Joue avec l’Art, Dada/Joue avec
Les 4 saisons d’Antoine, conception et réalisation Gordon, Chloé Jarry, illustrations Emmanuelle Tchoukriel, Camera Lucida productions, France 3 Ludo et France Télévisions Distribution
Uropa, Bernar iSlaire, Laurence Erlich, Casterman

Comme vous le voyez, Conte du haut de mon crâne ne figure pas ! Je l’avais proposé avec L’Ogresse sans y croire vraiment, tout en espérant un peu quand même ! Sinon pourquoi postuler ?

Conte du haut de mon crâne est une œuvre extraordinaire à plusieurs égards. La plus importante à mes yeux, c’est qu’elle est l’œuvre de talents humains et non technologiques. Le fruit d’une rencontre entre une auteure et une illustratrice, laquelle a su magnifier des mots, un texte, et a utilisé ses seules compétences ! Une histoire d’amour quoi !

Casterman… France télévisions… Décidément, on ne joue pas dans la même cour ! La Souris Qui Raconte ne fait pas partie du sérail. Pour autant, elle fait bel et bien partie du paysage ! Contre vents et marées, elle continue, obstinément et se demande déjà ce qu’elle présentera l’année prochaine !

Pour rappel, l’année dernière la pépite de la création numérique était revenue à Un Jeu d’Hervé Tullet édité chez Bayard.
Cette année, je vote pour Fourmi parce que l’univers de Olivier Douzou est juste génial et que les éditions du Rouergue est une très, très belle maison ! A l’heure où nous mettons sous presse, l’application n’est pas encore disponible.